ASSASSINATS POLITIQUES : QUAND L’ÉTAT PROFOND FAIT LE MÉNAGE | GPTV
Description
Le 12 novembre 2025 à 19h, Hubert Marty-Vrayance était l’invité de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.
Hubert Marty-Vrayance est un ancien commissaire de la Direction centrale des Renseignements généraux (RG), connu pour ses opinions souvent controversées. Né en 1958 à Perpignan, il a débuté aux RG avant de rejoindre le Service de coopération technique internationale de police (SCTIP), avec un poste au Gabon. Il présente ce soir son ouvrage Face à l’État profond.
L’État profond et la raison d’État
La raison d’État n’est pas un concept juridique : c’est un permis de tuer. Elle autorise les crimes commis au nom d’une stabilité définie par les puissants. L’État profond a fait de cette doctrine une arme : exécuter, manipuler, détourner sans jamais répondre devant la loi. Il infiltre gouvernements, agences, armées, banques, médias. Il ne sert pas les peuples, mais ses propres circuits d’influence. Ses agents ne sont ni élus ni visibles, mais dirigent les crises et fabriquent les guerres. La raison d’État n’est qu’un masque derrière lequel se cache la logique du contrôle total.
De Washington à Paris, les opérations « noires » consistent à créer la menace pour imposer la solution. Terrorisme, spéculation, pandémies, scandales politiques sont utilisés comme leviers d’ingénierie sociale. L’État profond agit par la peur, car elle soumet plus sûrement qu’une armée. Il orchestre les récits, justifie la censure au nom de la sécurité. La raison d’État devient le paravent légal d’une domination invisible.
Les Kennedy et la guerre contre l’ombre
John et Robert Kennedy ont payé de leur vie leur défi à cette structure occulte. Ils voulaient reprendre le contrôle de la monnaie, limiter la CIA, désengager l’Amérique. Ce fut une déclaration de guerre contre les intérêts dominants depuis 1945. Leur exécution n’est pas l’œuvre d’un tireur isolé : c’est une purge interne du complexe militaro-industriel. Chaque témoin gênant a été éliminé. Le message fut clair : aucun président ne doit menacer le pouvoir parallèle.
Depuis 1963, plus aucun chef d’État américain n’a osé s’opposer frontalement à cette machine. Les présidents jouent un rôle, pendant que CIA, NSA, FBI gouvernent sans mandat. Les Kennedy sont devenus des symboles sacrifiés. Leur mort a figé l’Amérique dans la peur de l’État profond.
Les cibles de l’État profond aujourd’hui
Donald Trump a subi deux tentatives d’assassinat déguisées. Il ne venait pas du système, il a été traité comme un virus. Ses vrais ennemis ne sont pas les démocrates, mais les agences qu’il voulait assainir. CIA, FBI, Mossad disposent d’un arsenal global : empoisonnements, sabotages, diffamation, guerre psychologique. Tout dirigeant qui rompt avec l’agenda mondialiste devient une cible.
Ce pouvoir parallèle s’étend aujourd’hui à toutes les sphères : renseignement, finance, Big Tech, pharma, diplomatie. Il façonne les crises pour remodeler les peuples. Il infiltre, influence, impose. L’assassinat est désormais numérique, social, économique. Mais la lucidité devient une arme. Quand la peur change de camp, l’État profond perd son ombre. Et sans ombre, il meurt.
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